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Charles de Gaulle et les femmes de la résistance GapFill
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Rejetant l’armistice signée par le maréchal Pétain avec l’Allemagne nazie, le général de Gaulle se à Londres où il restera jusqu’à la libération de la France. Lors de l’appel du 18 juin, à la radio anglaise, il appelle les Français à continuer de lutter.
En 1943, le Comité français de Libération nationale les différents mouvements résistants est créé et c’est de Gaulle qui est à sa tête. Parmi les résistants, on parle souvent des grandes figures comme Jean Moulin, mais on parle moins souvent des 300 000 à 500 000 hommes et femmes qui ont aussi risqué leur vie au quotidien.
Le rôle des femmes surtout semble avoir largement sous-estimé. Les femmes dans les mouvements résistants n’avaient pas pour la plupart de pouvoir décisionnel, ce sont plutôt des rôles subalternes qui sont alloués. Elles ne prenaient pas non plus part dans les actions armées. Étant sujettes aux contrôles de police, beaucoup de femmes étaient des agents de liaison ; elles transmettaient des informations et des armes aux différents membres des mouvements. D’autres, comme Hélène Studler, l’évasion de prisonniers de guerre.
Le célèbre chant résistant « Chant des partisans » a été composé par une femme, Anna Marly, qu’elle travaillait pour les Forces françaises libres à Londres. À la fin de la guerre, certaines femmes ont continué leurs actions politiques, comme la journaliste Gilberte Brossolette. Elle a été la première femme à les fonctions de vice-présidente du Sénat de 1946 à 1954.