La vie active en France et les attitudes envers le travail GapFill

Un syndicat  facilitefavoriseutilisesert à défendre les droits des travailleurs. Les syndicats sont aussi légalement conviés à prendre part aux décisions des entreprises, ce sont eux qui représentent les salariés en cas de conflit avec leurs employeurs. Pourtant, d’après les statistiques de 2018, seuls 8% des salariés sont syndiqués. Nous avons interrogé des personnes  depouràles qui appartenir à un syndicat a été essentiel à un moment de leur  exercicemétierprofessioncarrière.
Mireille
« J’ai été harcelée par mon chef qui m’envoyait des e-mails qui n’avaient  aucunnulchaquepersonne sens. Il était complétement paranoïaque et pensait que j’organisais une rébellion pour faire  moquerpleurerdésolercouler son entreprise. Il a commencé à me demander de venir au bureau à des heures complètement folles, puis à annuler à la dernière minute. Il abusait de son pouvoir pour  renvoyeraugmenterremettrerendre ma vie très difficile. J’ai donc fait appel à un syndicat pour m’aider à sortir de cette situation. »
Gabriel
« J’ai 52 ans et je suis ingénieur informaticien. L’année dernière je suis tombé gravement malade et j’ai dû m’absenter pendant plusieurs mois. Mon chef à ce moment-là a été très compréhensif, c’est à mon  rentréeretourréponseréveil que les choses ont dégénéré. Pendant mon absence, ils ont décidé d’entreprendre des réformes dans notre manière de programmer, le monde de l’informatique évolue très rapidement. À mon retour, j’ai dû tout apprendre mais je n’allais pas assez vite au  goûtsaveurclimatvoix de mon employeur. C’est à partir de là qu’il a commencé à me  étourdiréleverrabaisserparalyser toute la journée, en me disant que j’étais trop vieux et  proprebravebienbon à rien. Le syndicat m’a fait comprendre que c’était du harcèlement moral. »