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Les questions estudiantines : la vie politique GapFill

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Le 15 mars 2019, des milliers de jeunes ont participé dans le monde entier à la grève étudiante pour le climat. Près de 200 000 jeunes ont  défilédémarchéavancéregroupé dans les villes de France, 150 000 au Québec et 50 000 en Belgique. C’est dans ce pays de 11 millions d'habitants que la mobilisation est une des plus importantes. En effet, depuis janvier, des milliers de jeunes se regroupent chaque semaine pour  trahirdénoncerpoursuivrevendre l’inaction de leur gouvernement à prendre des mesures contre le réchauffement climatique. Le phénomène est même  au jouractuellementdorénavantexempt toléré par certains professeurs. « Bien sûr que je les comprends. Je trouve que c’est une excellente  soutienfondationinitiativenégociation », nous a confié Françoise Masson, proviseure du lycée Émile Jacqmain de Bruxelles.
Nous sommes à Bruxelles, à la  hasardconversationrencontreretrouvaille des jeunes dans les rues, et nous avons rencontré Samia Bessoune, porte-parole du mouvement Youth for Climate en Belgique.
« J’ai commencé à prendre  intuitionconsciencesentimentperception de l’ampleur du phénomène pendant la Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques. Je me suis  vurapportérenduconçu compte que 20 à 30% des espèces étaient menacées à cause de nos actions, que des îles notamment au Bangladesh avaient déjà disparu en raison de la  marcheflèchemontéehauteur des eaux des océans ou encore que, d’après l’ONU, il y aurait 250 millions de réfugiés climatiques d’ici 2050. Ce sont des  signessommeschiffrescaractères qui m’ont fait peur d’abord, et puis je me suis dit que tout n’était pas perdu et qu’il fallait  risquerdéfierlutterprouver pour préserver notre planète. »

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