La liberté d’expression GapFill

Les manifestations des gilets jaunes en 2018 et 2019 ont été  cochéesindiquéestracéesmarquées par le nombre important de blessés  parmientreavecpour les manifestants. Ces  blessésplaiesblessuresdouleurs découlent en partie des violences policières, filmées puis relayées sur les réseaux sociaux. Sur les vidéos, on voit des policiers abuser de leur autorité et  rebattrebornermatraquerabêtir des manifestants déjà à terre. Les armes utilisées par la police contre les manifestants ont elles aussi été   renduesremisesportéesprises en cause. Lanceurs de balle de défense (LBD), gaz lacrymogène, grenades de désencerclement, ces armes ont très gravement blessé plusieurs centaines de personnes  dontdesquellesparqui certaines sont encore entre la vie et la mort. Voici quelques témoignages des victimes :
Timothée
J’ai été très  honnêtementdifficilementlaborieusementgrièvement brûlé par un tir de grenade, la douleur dans mon bras était tellement forte que je pensais que j’allais  donnerperdreruinerabandonner la vie. Finalement, on a dû m’amputer le bras. Ce fut une expérience vraiment très traumatisante.
Doriana
J’ai reçu un tir de LBD dans l’œil. J’ai été hospitalisée d’urgence mais les médecins n’ont rien pu faire et j’ai perdu mon œil gauche. Je me dis que ça aurait pu être plus  aigufutileaccidentelgrave encore.
En Europe, il n’y a qu’en France que la police utilise des grenades de désencerclement. Le nombre élevé de blessés a entraîné de  écarlateséveillésvifsanimés débats quant à l’abandon de son utilisation.