Les changements et les développements GapFill

La France cherche depuis  cependantparticulièrementlongtempsvraiment à protéger ses artistes de la concurrence mondiale.  ParDepuisDesPour les années 1960, la France a imposé une « exception française » dans l’industrie musicale. Celle-ci  obligereconnaîtimposecondamne par exemple les radios à respecter des quotas dans leur programmation. Pendant les heures de grande écoute, les radios françaises ont ainsi l’obligation de  répandreprojetercirculerdiffuser au moins 40% d’œuvres créées ou interprétées par des artistes francophones. Aujourd’hui encore, cette loi crée des débats et certains  soutiendraientaimentadoraientaimeraient bien la voir disparaître. « Je ne comprends pas pourquoi on continue d’essayer de protéger les artistes français. Cela  partagevantediminuesoustrait la qualité des œuvres diffusées à la radio, j’aimerais pouvoir diffuser plus de musique d’ailleurs », nous a expliqué le président de Virgin radio.
D’autres au  contrairerapportcontrarioanalogie se réjouissent que cette loi existe toujours. « Il faut savoir que les radios ont aussi l’obligation de diffuser les titres des nouveaux talents francophones et cela  lesluileurqui aide beaucoup à se faire connaître », nous a expliqué un journaliste de Radio France. « Sans cela, les jeunes artistes qu’on écoute aujourd’hui, comme Christine and the Queens ou encore Eddy de Pretto, n’auraient jamais  eufuétésu diffusés aussi rapidement à la radio et n'auraient jamais  étéprisrencontrédonné le succès qu’ils ont aujourd’hui. »