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Solutions politiques à la question de l’immigration GapFill
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Depuis 1999, les migrations
la France ont fortement augmenté en raison des guerres, des persécutions et de l’extrême
. Un phénomène qui ne va pas
en raison du changement climatique qui pourra bientôt faire
le nombre de migrants climatiques. En 2019, environ 6% des personnes
en France sont des étrangers.
La question de l’immigration crée des tensions entre les pays européens. En fin d’année 2018, les chefs d’État français et italien se sont plusieurs fois querellés sur ces questions. Alors comment faire pour l’arrivée des migrants sur le sol européen ? En 2015, les dirigeants européens se mettent d’accord pour accueillir 120 000 réfugiés. Ceux-ci sont dans les différents pays en fonction du PIB et du nombre d’habitants. Sont également pris en compte le taux de chômage et le nombre de d’asile déposé dans chaque pays. Ce sont l’Allemagne, l’Espagne et la Pologne qui doivent accueillir le plus de migrants.
Pourtant, quelques années plus tard, l’association Amnesty International montre que ce projet de quotas s’est terminé sur un échec. Malgré l’obligation, certains pays comme la Pologne et la République tchèque, gouvernés par des gouvernements xénophobes, ont d’accueillir des demandeurs d’asile. La France, qui s’était engagée à accueillir 24 000 migrants en 2 ans, n’en a accueilli 4 500.
La question de l’immigration crée des tensions entre les pays européens. En fin d’année 2018, les chefs d’État français et italien se sont plusieurs fois querellés sur ces questions. Alors comment faire pour l’arrivée des migrants sur le sol européen ? En 2015, les dirigeants européens se mettent d’accord pour accueillir 120 000 réfugiés. Ceux-ci sont dans les différents pays en fonction du PIB et du nombre d’habitants. Sont également pris en compte le taux de chômage et le nombre de d’asile déposé dans chaque pays. Ce sont l’Allemagne, l’Espagne et la Pologne qui doivent accueillir le plus de migrants.
Pourtant, quelques années plus tard, l’association Amnesty International montre que ce projet de quotas s’est terminé sur un échec. Malgré l’obligation, certains pays comme la Pologne et la République tchèque, gouvernés par des gouvernements xénophobes, ont d’accueillir des demandeurs d’asile. La France, qui s’était engagée à accueillir 24 000 migrants en 2 ans, n’en a accueilli 4 500.