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Quel avenir pour la politique ? GapFill
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La radio France18 a mené une
sur la vision qu’ont les jeunes de 18-25 ans sur la vie politique. Voici quelques extraits des entretiens.
Céline
« Personnellement, je trouve que le système actuel n’est pas assez démocratique. Ce n’est pas normal que les hommes politiques qui sont élus un programme ne sont pas obligés de le . C’est comme s’ils pouvaient balancer des idées en l’air juste pour se élire et qu’une fois au , ils pouvaient faire ce qu’ils veulent. »
Amin
« Je vis à Marseille, une grande ville, et dans mon quartier certains sont véritablement insalubres et dangereux. Le maire est parfaitement au courant des conditions dans lesquelles nous vivons mais il préfère investir dans l’aménagement des lieux touristiques plutôt que de rénover les immeubles dans les habitants risquent leur vie. Je voudrais que la santé et le bien-être des gens remis au centre des débats politiques. »
Sandrine
« Pour moi, faire partie d’une association c’est faire de la politique. L’association je fais partie n’est pas très grande, et nous nous réunissons régulièrement pour décider des futurs projets que nous voulons développer. Nous cherchons toujours à ce que nos actions dans le temps car nous n’avons pas la pression de devoir être réélus. »
Céline
« Personnellement, je trouve que le système actuel n’est pas assez démocratique. Ce n’est pas normal que les hommes politiques qui sont élus un programme ne sont pas obligés de le . C’est comme s’ils pouvaient balancer des idées en l’air juste pour se élire et qu’une fois au , ils pouvaient faire ce qu’ils veulent. »
Amin
« Je vis à Marseille, une grande ville, et dans mon quartier certains sont véritablement insalubres et dangereux. Le maire est parfaitement au courant des conditions dans lesquelles nous vivons mais il préfère investir dans l’aménagement des lieux touristiques plutôt que de rénover les immeubles dans les habitants risquent leur vie. Je voudrais que la santé et le bien-être des gens remis au centre des débats politiques. »
Sandrine
« Pour moi, faire partie d’une association c’est faire de la politique. L’association je fais partie n’est pas très grande, et nous nous réunissons régulièrement pour décider des futurs projets que nous voulons développer. Nous cherchons toujours à ce que nos actions dans le temps car nous n’avons pas la pression de devoir être réélus. »