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Quelles attitudes envers la criminalité ? GapFill
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En Belgique, plus de 60 % des anciens détenus sont toujours au chômage un an après leur sortie, selon une
de 2019.
« La sanction, je l’ai déjà en passant un an de ma vie en prison. Pourtant, depuis ma sortie il y a trois ans, je me sens toujours aussi seul car il m’est impossible de retrouver un travail. Je suis exclu du système à cause d’une que j’ai commise à 19 ans. » Emprisonné pour trafic de drogues, Thomas a passé un an dans la prison de Saint-Gilles à Bruxelles. En prison, il a pu suivre une formation pour devenir artisan boulanger. Il avait de trouver un travail grâce à son nouveau diplôme, mais malheureusement son passage en prison le suit partout où il va. Les employeurs souvent un certificat de moralité, un document impossible à obtenir pour les personnes qui ont fait de la prison. « On est considéré comme des individus de seconde classe, même pas d’avoir un boulot comme tout le monde. J’ai fait toutes les possibles et imaginables pour trouver un emploi. »
Depuis sa sortie, Thomas vit chez sa mère qui fait son possible pour l’aider. Tous les anciens détenus n’ont pourtant pas la chance de pouvoir chez quelqu’un et certains recommencent à voler pour pouvoir gagner un peu d’argent. « Je n’en plus d’être au chômage et je ne vois pas comment me sortir de l’impasse. Les personnes qui ont fait des erreurs d’être pardonnées. »
« La sanction, je l’ai déjà en passant un an de ma vie en prison. Pourtant, depuis ma sortie il y a trois ans, je me sens toujours aussi seul car il m’est impossible de retrouver un travail. Je suis exclu du système à cause d’une que j’ai commise à 19 ans. » Emprisonné pour trafic de drogues, Thomas a passé un an dans la prison de Saint-Gilles à Bruxelles. En prison, il a pu suivre une formation pour devenir artisan boulanger. Il avait de trouver un travail grâce à son nouveau diplôme, mais malheureusement son passage en prison le suit partout où il va. Les employeurs souvent un certificat de moralité, un document impossible à obtenir pour les personnes qui ont fait de la prison. « On est considéré comme des individus de seconde classe, même pas d’avoir un boulot comme tout le monde. J’ai fait toutes les possibles et imaginables pour trouver un emploi. »
Depuis sa sortie, Thomas vit chez sa mère qui fait son possible pour l’aider. Tous les anciens détenus n’ont pourtant pas la chance de pouvoir chez quelqu’un et certains recommencent à voler pour pouvoir gagner un peu d’argent. « Je n’en plus d’être au chômage et je ne vois pas comment me sortir de l’impasse. Les personnes qui ont fait des erreurs d’être pardonnées. »