Le bénévolat – quelle valeur pour ceux qui sont aidés ? GapFill

Après avoir perdu son travail et avoir dû  sortiremmenerrevenirquitter son appartement, Jérôme s’est retrouvé à la rue. Il a  lancérassembléoccupévécu deux ans dans les rues de Paris. Jérôme cherchait désespérément un endroit à l’abri pour passer la nuit dans la rue, mais il a bien souvent senti que sa présence  reprenaitdérangeaitsupportaitredressait le voisinage. « L’hiver dernier, j’avais trouvé un endroit  entresousloindevant un immeuble de la rue Solférino. C’était pas mal car j’étais à l’abri de la pluie et du vent mais un soir, quand je suis arrivé pour dormir, il y a avait un énorme pot de fleurs à l’endroit où j’avais l’habitude de passer la nuit. »
Jérôme n’est pas le seul à  quioùcommentquel s’est arrivé. De plus en plus de communes décident d’installer des bancs « anti sans-abri ». Ce sont des bancs très  finssubtilscomfortablessuffisants ou avec une barre au milieu pour empêcher les gens de s’y installer.
«  SouventAssurémentHonnêtementHeureusement qu’il y a des associations pour nous aider » nous a confié Jérôme. « Les centres d’urgence sont souvent  patientésbondésposésattendus mais au moins ça permet de dormir au chaud ».
Aujourd’hui, Jérôme a retrouvé un endroit où vivre et il se  batpartagecombatréagit activement pour aider les  centainessecourséquipescents de personnes qui dorment dans les rues de Paris chaque nuit.