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Quels dangers la « cyber-société » pose-t-elle ? GapFill
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Le cyber-harcèlement touche toutes les
de la société.
En 2019, une de cyber-harcèlement a ébranlé la société française. Elle concerne la « Ligue du LOL », un groupe d’hommes journalistes qui a harcelé leurs homologues féminins sur Internet des années avant d’être dénoncé. Ces journalistes travaillent pour des journaux en France comme Libération ou le magazine Inrockuptibles, pourtant réputé comme alternatif et prônant l’ouverture . Après avoir créé des comptes Twitter anonymes, ils s’amusaient à envoyer du sexiste et pornographique aux femmes journalistes et activistes qui travaillaient avec eux. David Doucet, le rédacteur en chef du magazine Les Inrockuptibles, avait aussi piégé l’une des journalistes qui travaillait pour lui en lui faisant un faux entretien d’embauche. Il l’avait enregistré puis publié en ligne. La journaliste en question été humiliée sur Internet. « J’en ai pleuré pendant des jours », a-t-elle finalement avoué.
Aujourd’hui, les journalistes qui ont participé à ce genre de moqueries se sont publiquement sur Internet et ont tous été exclus du journal pour lequel ils travaillaient. Cette révélation arrive bien tard on sait que le groupe avait été créé en 2009, par Vincent Glad, un journaliste de Libération.
En 2019, une de cyber-harcèlement a ébranlé la société française. Elle concerne la « Ligue du LOL », un groupe d’hommes journalistes qui a harcelé leurs homologues féminins sur Internet des années avant d’être dénoncé. Ces journalistes travaillent pour des journaux en France comme Libération ou le magazine Inrockuptibles, pourtant réputé comme alternatif et prônant l’ouverture . Après avoir créé des comptes Twitter anonymes, ils s’amusaient à envoyer du sexiste et pornographique aux femmes journalistes et activistes qui travaillaient avec eux. David Doucet, le rédacteur en chef du magazine Les Inrockuptibles, avait aussi piégé l’une des journalistes qui travaillait pour lui en lui faisant un faux entretien d’embauche. Il l’avait enregistré puis publié en ligne. La journaliste en question été humiliée sur Internet. « J’en ai pleuré pendant des jours », a-t-elle finalement avoué.
Aujourd’hui, les journalistes qui ont participé à ce genre de moqueries se sont publiquement sur Internet et ont tous été exclus du journal pour lequel ils travaillaient. Cette révélation arrive bien tard on sait que le groupe avait été créé en 2009, par Vincent Glad, un journaliste de Libération.